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Un autre regard possible?

Pour vos enfants, ces jeunes qu'on aime et les moins jeunes aussi. Que le Coeur soit avec eux. Ils ont déjà le mien.

Un autre regard sur le confinement

Chers amis

Chers patients

Chers humains,

Cet écrit n'est pas un débat et je prends volontairement parti pour une vision positive de la situation tout en sachant bien les différents drames qui existent et qui sont la réalité et le moment de beaucoup personnes. En effet, tous domaines confondus, je n'oublie pas que beaucoup n'ont pas attendus la crise actuelle pour endurer leur quotidien.

Je prends position pour le sens de de ce que cette période peut permettre de faire éclore, et qui est déjà en route. Que l'on puisse voir à partir de quoi un avenir meilleur peut se dessiner et de quoi il peut être fait.

Ceci est un constat personnel suivi d’une réflexion qu’il me fut difficile de réfréner, à propos de ce que l’on vit actuellement et du confinement. En peu de temps, il change notre mode de vie, nos rythmes, nos habitudes. Il sort certains de leur zone de confort, et génère donc diverses émotions. Je crois qu’il peut aussi apporter ou faire naître une/des prises de conscience pour qu’on puisse traverser cette expérience de vie et avoir le goût pour quelque chose de différent, plus cohérent, plus bienveillant et plus essentiel.

J’ai conscience de ce qui se vit aujourd’hui :

  • Humainement. Puisque je continue à recevoir à mon cabinet des patients loin du monde médical ou de la santé. Il y a des angoissés, des fatalistes, des raisonnés et des appliqués. Je reçois également des soignants qui sont face à la réalité, en 1ere ligne, 2e ou toutes les autres derrière. Ils sont fatigués, stressés, bloqués, baignent dans une ambiance de travail pas sereine. Ils sont témoins. Ils se retrouvent parfois impuissants, et ça c’est bien une émotion difficile à digérer surtout lorsqu’on a choisi ses métiers tournés vers les autres.

  • Economiquement. Puisque même si je peux encore exercer, je reçois moins d’1/3 du nombre de patients habituel.Et la situation est critique pour un très proche dans ma famille. Je pense fort à lui. Et à vous tous, qui êtes concernés.

J’ai conscience de la chance que j’ai d’être en province, dans une maison avec jardin, dans un coin où je peux aller chercher mon pain avec peu de chance de devoir me justifier par une attestation.

Il est vrai également que je n’ai pas l’école à faire à la maison, ni à faire face à l’ennui de jeunes enfants, ou adolescents. Ni à leurs angoisses parfois.

Bien sûr, j’ai la chance de pouvoir ajouter que je ne suis pas dans la tourmente puisque je ne vis pas le drame que vivent beaucoup de familles actuellement. Et je ne suis pas seule. Merci.

J'en profite pour adresser toutes mes meilleurs pensées aux malades et à leurs proches, je leur souhaite le meilleur rétablissement possible.

Et toute ma compassion aux familles et aux défunts; qui sont souvent partis seuls.

Mon écrit ne s’intéresse pas aux différentes théories sur la cause et les origines de la circulation de ce virus. Je ne mets aucune once d’énergie dans ces possibilités car ce n’est pas constructif pour moi et je préfère rester en éveil sur ce qui m’est offert chaque jour.

Car une chose est claire, tout étant suspendu ou annulé jusqu’à nouvel ordre, c’est bien au jour le jour que nous vivons nos…journées.

Sans doute même n’avons nous jamais été autant dans le présent et l’Instant présent qu’en cette période.

Depuis quand n’avons nous pas été dans le moment présent ? Il y en a des choses à redécouvrir ici et maintenant.

Souvenons-nous…

…Enfant, nous vivions dans chaque seconde (même mieux car en fait l’Enfant vit dans l’éternité) et nous ne nous lassions pas.

Cela nous permettait de rester curieux et de s’émerveiller à chaque instant.

C’est ainsi que l’enfant peut être dans la joie, l’innocence et connaître le repos.

De plus, comme il vit dans la croissance et le développement continuel, il cherche la nouveauté sans crainte. L’expérience ne lui fait pas peur.

L’enfant est le garant du présent et de l’essentiel. Je pense que les parents ne démentiront pas si je dis que les enfants vous ramènent à la simplicité, et ce qu’on appelle parfois « le basique ».

Ils sont réceptifs à ce qui est nourricier.

Ils sont en contact avec l’Amour et le monde naturel.

Ils ont la clé !

Cette période m’apporte plus de temps disponible pour autre chose que mon activité professionnelle. Ayant peu d’opportunité d’aller en ville (tout est fermé et en plus il faut une bonne justification) j’ai l’impression d’avoir moins de besoins ! Etonnant !?! J’ai eu l’impression de moins courir à droite à gauche en dehors de chez moi et en plus j’ai l’espace temps pour faire ce que je dis souvent vouloir faire à la maison !! J’ai été effarée de cette constatation. Prise en flagrant délit.

Retour aux choses simples et avec ce que l’on a à portée de main: marche, jeux, écouter les oiseaux qui reviennent, musique pour certains, couture pour d’autres, cuisiner ou apprendre à cuisiner ensemble, lecture, contempler. Ecouter aussi ; ce calme. Un vieux souvenir.

C’est sûrement aussi l’opportunité de faire du tri dans la maison, fameux ménage de printemps. J’y pense car je vois l’analogie avec notre façon de vivre, consommer, emmagasiner, acquérir et cette période propice au retour à la simplicité, révision des priorités et donc une forme de classement et de tri intérieur. Peut-on faire un ménage mental aussi ?

Beaucoup se retrouvent en famille H24. Je peux imaginer. Nous étions 5 à la maison. Cela fait autant de personnalités, de besoins et de rythmes différents !

Etre confinés entre proches, en majorité avec ceux qui partagent notre quotidien, ça nous ramène… à nous en tant qu’unité propre, à nous en tant qu’unité de couple, à nous en tant qu’unité familiale.

Et combien de fois a t’il été dit qu’on ne se voyait pas assez ? Qu’on n’avait pas le temps d’échanger, de se parler, de partager ?

Pouvez-vous penser que la contrainte actuelle puisse offrir l’opportunité, pour que cela reste supportable et vivable, de réinstaurer des priorités, de réajuster une organisation plus bienveillante, respectueuse et équitable pour les uns.es et les autres ?

Que chacun fasse quelque chose, dans ce qui possible pour lui, pour quelqu’un d’autre dans le foyer ou simplement pour cette cellule familliale? Je me projette dans les familles nombreuses…

Tous les âges étant concernés en ce moment, cette période renvoie chaque enfant, adolescent ou adulte dans ses propres difficultés face à l’inconfort, la contrainte, l’inquiétude, la privation, la frustration, l’inconnu, ou la patience. Nous sommes tous à ce sujet là, sur le même pied d’égalité. Au titre de cette équité et de cette galère collective, n’est ce pas le bon moment pour participer et apporter sa contribution, avec son cœur et sa façon, à maintenir une bienveillance et un équilibre collectifs ?

C’est finalement aussi une façon de rester acteur et de ne pas subir.

C’est le début de la solidarité et de constater que la solidarité peut profiter à chacun…

On sait aussi que chacun a besoin d’un temps seul, pour faire ce qui est bon pour lui et qu’il est important de le respecter. Bien sûr, comprendre cette nécessité pour l’autre et en tenir compte, vaut également pour soi ! Alors se l’accorder et le faire respecter !

Je me projette encore dans les familles, plus ou moins nombreuses cette fois-ci. ;-)

Et pourquoi pas, ça pourrait être instructif et positif pour les autres. (Savoir attendre que l’autre soit disponible ce qui évite la mise sous tension, savoir dire stop ou plus tard aussi donc respect de ses propres limites, et tout ce que ça implique en terme de frustration, apprentissage d’autonomie, disponibilité pour les autres, gain en responsabilité…)

En temps normal, c’est régulièrement la course aux occupations car il ne faut pas que les enfants (et adultes pareil) s’ennuient. Pourtant, lorsqu’on laisse un enfant s’ennuyer, c’est là qu’il va pouvoir s’exprimer. C’est un espace propice à son imagination et sa créativité.

Pourquoi ne pas voir l’ennui comme une pause ?

Laissons-la être respirée et l’ennui s’exprimer !

Plusieurs personnes me renvoient la notion d’attente. Je l’écris là suite à l’ennui car je fais un lien entre attente-ennui-patience.

L’attente est pesante, difficile car elle est imposée, elle est subie. Elle renvoie à une forme d’impuissance.

Et oui, ce n’est pas soi qui contrôle, mais un agent extérieur et une autre autorité.

La difficulté ici, n’est-ce pas qu’en étant plus acteur du contrôle, on doive se priver ou se séparer d’une forme de sécurité ?

« Avec ce confinement et ses contraventions, on nous prive de nos libertés ! ».

Ou alors, on nous évite de…Faire, faire, faire, occuper le temps.

Tuer le temps.

Peut-on apprendre qu’on n’est pas obligé de faire pour Être, mais que l’on a juste à ETRE ? Et qu’en plus, nous sommes déjà parfait tel qu’on est.

Sera t’on plus aimé, plus parfait (c’est quoi parfait ? aux yeux de qui ? pour qui ? La perfection n’est elle pas un puits sans fin ?) en se sentant toujours plus utile, avec encore plus de fortune, plus de biens divers, ou en faisant encore et toujours plus de…tout ?

Quel sens donne t’on à toutes ces motivations ?

Il n’est pas question ici de remettre en cause l’ambition ou non et la réussite professionnelle ou autre.

Ce temps de confinement pousse à l’introspection, à la réflexion car le fait est qu’il est plus difficile de « fuir » sous prétexte d’une course à faire, ou en allant faire les magasins, filer tous les jours à la salle de sport, prendre un verre, faire un ciné, se réfugier dans le boulot… Tout ce qui comble le vide et qui permet de se remplir d’autant de choses qui ne sont plus assez nourrissantes, visiblement, puisque l’on court toujours après autre chose. Matériel ou non.

Surtout on évite de se retrouver avec soi-même.

Peut-on penser que l’on a perdu le lien à Ce qui nous nourrit profondément ?

Le changement que je remarque dans ce qui nous est imposé par les attestations de déplacement, est que la sortie autour de chez soi pour prendre l’air, ou la course de 1ere nécessité, nous les faisons en conscience. Et ceux qui pratiquent un peu savent que faire les choses en conscience fait partie de la pratique méditative pour nous éviter de nous perdre dans notre agitation mentale, et au contraire pouvoir être nourris de l’instant présent et de ce qu’il peut nous offrir comme repos, espace et tri intérieur, et finalement comme énergie disponible avec les idées plus claires ! Etre ici et maintenant.

Contraintes de l’attente….contraints à la patience !

Contrainte…des dérogations, des horaires, de rester chez soi, de ne plus se réunir, de mettre une distance et se protéger vis à vis d’un voisin, de la solitude, de ne plus travailler, ou dans des conditions comme dire…contraignantes.

Que ressort-il de la contrainte ?

La créativité peut naître de la contrainte et le constat est que l’inspiration est présente. Regardons les mobilisations et les créations actuellement : les artistes chanteurs proposent des concerts en live chez eux, ou composent des chansons pour le monde soignant et la population. D’autres écrivent. Les humoristes s’y mettent, pro et amateurs. D’ailleurs ça foisonne sur internet, des choses pleines d’humour et très drôles !

La solidarité est en pleine conscience depuis 15 jours et renaît également!

On le voit à travers les applaudissements aux balcons pour le monde soignant et aidant tous les soirs à 20H, tout comme plein d’autres témoignages et de démarches.

C’est fou qu’il faille une situation extrême pour réaliser la valeur de certains corps de métiers et de la solidarité.

Beaucoup sont au plus près des patients, certains infirmier.e.s sont réquisitionnés à l’hôpital en plus de leurs tournées habituelles et ne vont plus avoir leurs jours de repos pendant quelques temps.

Les patients sont inquiets, paniqués, désorientés parfois, l’atmosphère de travail est pesante et angoissante. Je sais à quel point cela demande une discipline pour rester le plus disponible, clame et opérationnel possible. Je leur témoigne à mon tour tout mon soutien pour les prochaines semaines et les remercie d’être au service comme ils le sont.

Là encore, quel clin d’œil ! Car globalement qu’y a t’il d’opérationnel, disons de vital en ce moment ?

Le monde financier actuellement ne peut rien pour les malades. Et il déprime en plus…

Le superflu sort du podium.

L’économie se prend une claque.

Que reste t’il ?

Ce qui se fait et se vit avec le cœur. (Dont le monde animal, soigneur lui aussi)

Et j’en profite pour dire ici, qu’à mon sens, l’Amour et ce qui vient du cœur sont infaillibles et ne peuvent s’éteindre.

Nombreux préfèrent aller voir les petits commerçants et privilégient les circuits courts plutôt qu’aller se confiner dans les grandes surfaces (et ce n’est pas qu’une question de périmètre car on est autorisé)… on tient peut-être là aussi un nouveau point de départ pour notre production Française et un retour vers une consommation plus logique et raisonnée.

Le moment nous enseigne qu’on est bien content d’avoir une production Française, peut-être garderons nous l’envie de la préserver et de la valoriser.

Evidemment c’est plus facile de s’en rendre compte quand les transports sont limités avec l’étranger.

Pensons aussi qu’il n’y a pas que la terre, la mer française est nourricière.

Tout cela, c’est une façon d’exprimer de la solidarité pour notre société. Elle en a bien besoin. Tout le monde en a besoin. Tout le monde est touché.

L’adversité virale nous fait réaliser que nous avons la chance d’être là, on prend des nouvelles des amis, des proches, et on a même repris la bonne vieille voie de l’appel en direct ! L’appel vocal ! Retour au concret.

Et il y a une grosse envie de se revoir pour partager un moment convivial quand tout sera apaisé ; moment dans la joie.

En fait, être dans l’ici et maintenant.

Dans l’essentiel, avec le cœur.

Ok tout ça, et ensuite ?

Pour la planète.

On constate depuis plus de 15 jours que la Terre revit ! Il suffit d’aller voir les images satellites.

Partout dans le monde, les animaux et la nature reprennent leurs droits. Ils suscitent la curiosité et l’émerveillement chez beaucoup de personnes qui réalisent qu’ils entendent à nouveau les oiseaux et redécouvrent une faune ! Rappelons-nous combien l’enfant est admiratif et passionné par le monde animal et naturel. Et comme les animaux les intègrent naturellement dans leur monde.

Véridique : nous découvrons de plus en plus un lapin dans notre jardin, il est juste là, il nous fait plaisir d’imaginer qu’il médite, ou fait sa sieste. En tous les cas, il reste là, au repos. Ou bien il joue avec con copain Panpan.

Nous trouvons certains animaux plus nombreux de jour et plus tranquilles.

A Venise ; le calme revenu, les cygnes ont réinvesti les canaux dont l'eau a retrouvé sa clarté. A tel point que les Vénitiens ont pu distinguer des bancs de poissons.

On observe des phénomènes de groupe chez les thons et les dauphins qui ressortent désormais. La sérénité est retrouvée dans leur environnement moins agressé par la présence de l’homme et ils reprennent leurs marques.

La nature s’est apaisée aussi dans le parc National des Calanques où on a pu revoir des aigles comme l’aigle de Bonelli qui s’était absenté, ainsi que des hérons.

La Chine n’a jamais vu autant de ciel bleu au dessus d’elle.

Avez-vous senti comme l’air a changé ?

La pollution est améliorée de 30%

Avez-vous remarqué le calme ambiant qui existe malgré l’agitation ?

Il y a une diminution des nuisances sonores et on redécouvre certaines sonorités comme le chant des oiseaux à Paris.

Un calme pour les pollution de l’air, sonore et lumineuse ; des fléaux pour la biodiversité, pour la santé nerveuse et mentale de tous même si certains trouveront cela ringard, peu crédible, ou totalement d’un monde de princesses.

Pour nous. En décodage biologique le virus a une signification.

Je partage avec vous celle de Marie Colette Mouton, spécialiste dans le domaine (du décodage biologique, pas du virus )

Le coté biologique du Coronavirus.

Le mécanisme de vie du virus : il pénètre dans la cellule, et se niche dans le cytoplasme (partie gélatineuse qui entoure le noyau), cette partie sert aux échanges chimiques d’informations entre l’intérieur et l’extérieur. Le virus utilise l’ARN génomique pour se reproduire, en quelque sorte, et ensuite migrer hors de la cellule. (L’ARN est la partie qui est influencée par l’extérieur et le mode de vie, et qui communique avec l’ADN)

Le virus est un vecteur d’information.

La plupart des mutations depuis les origines lointaines ont eu lieu grâce aux virus, ils apportent une nouvelle information aux cellules. L’hypothèse serait qu’il permettrait une expression potentielle de la cellule.

Les symptômes causés par ce virus sont multiples :

Toux (attraper ou cracher le morceau vital),

Rhume (menace qui rode autour de moi),

Alvéoles pulmonaires (peur de la mort, de la mort de l’autre, peur d’être envahi, le tout avec une notion d’air).

Si une population humaine peut être vue comme un système macroscopique du corps humain, alors on peut avancer l’hypothèse que dans la région où a débuté l’épidémie, la population avait besoin de changer quelque chose (virus) et porte dans son ensemble les conflits décrits entre parenthèse.

Merci à Françoise B. pour avoir partagé avec moi ses informations.

Ce virus qui fait parti du vivant, est porteur d’une information et peut nous enseigner que nous nous sommes éloignés de ce qui nous lie au monde vivant et ce que nous avons à y vivre.

Il n’est pas vraiment question d’écologie, plutôt de l’opportunité d’une prise de conscience collective que la planète et l’humanité quelque part seraient malades : perte de repères, de notre bien-être mental et physique, course à l’argent, à la technologie et à la consommation qui nous éloignent de ce qui est essentiel.

J’espère que le fond de cette réflexion et ce qu’elle soulève peut nous amener nombreux à une autre lecture de la période actuelle, même dans des conditions moins favorables que la mienne.

Ma situation me permet sans doute justement, de pouvoir écrire ce message et d’inviter notre conscience se laisser déplacer… pour permettre, si elle est possible, cette transmutation vers un autre état d’être, un autre rapport à la Vie et à cet environnement ; ce Tout qui est notre source.

Notre Source, pour les ostéopathes, et tout autant pour vous, chers amis, patients et humains.

Cet espace où la transmutation est possible existe en chacun de nous et partout autour de nous tous.

Il est habité par une respiration qui vient du Silence,

Une respiration qui se lie en nous et qui nous unit. Tous.

Pour les praticiens ou ceux qui se sentent impuissants en ce moment, tenus à l’écart, et qui souhaitent participer pour aider, mon mentor F.D. nous propose de rester dans le Silence et avec la vraie Conscience collective.

En ostéopathie, on nous enseigne qu’il « faut trouver la santé, n’importe qui peut trouver la maladie » (A. T. Still) et que même dans la lésion, il y a quelque part une activité en lien avec la Santé.

C’est une partie de la pensée ostéopathique, elle ne s’apprend pas.

Elle s’expérimente.

Elle se vit.

Puis elle nous guide sans cesse, vers la Guérison.

Pour moi, l’analogie est tellement claire.

Qui veut participer ?

Je vous souhaite de vous laisser toucher par le meilleur pour vous.

« Cela nous est offert » (F.D.)

Anne

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