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Vaccinations

Les vaccins jouent un rôle dans les plagiocéphalies (fameuse "tête plate"), ils fixent celles qui sont présentes ou qui s'installent. A la naissance, le bébé est est une entité qui déborde de force vitale pour lui permettre d'assurer sa croissance et son développement (c'est la croissance du système nerveux-cerveau-cervelet-moelle épinière.. qui "moule" la forme du crâne!!). Les vaccins viennent éteindre cet élan de force vitale alors qu'ils sont en pleine maturation de leur système immunitaire, nerveux et hormonal.

Cet élan (que l'on peut comparer à l'allumage en mécanique automobile) est perturbé voire diminué par la péridurale et lorsque que la naissance nécessite les forceps, la ventouse, un déclenchement (les instruments sont à l'origine de "torticolis" propice à la plagiocéphalie par compensation posturale, les produits chimiques ont une action plus générale sur la qualité de cet élan).

Il faut savoir pour preuve, que le périmètre crânien d'un nourrisson stagne après une vaccination.

ET récemment, on observe également des réactions de ce type avec les prise de vitamines D que l'on donne aux bébés.

voici l'article:

Non à une campagne massive de vaccination forcée

Pétition

La nouvelle ministre de la Santé Agnès Buzyn vient d’expliquer dans le Parisien son souhait d’étendre l’obligation vaccinale pour nos enfants, en passant de 3 vaccins à 11obligatoirespour, dit-elle, « permettre à la société d’évoluer ».

Disons le tout net : obliger des parents à voir 11 vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, haemophilus influenzae B pneumocoque, méningocoque C) injectés à leurs enfants dès le plus jeune âge, sans avoir leur mot à dire, n’a rien d’une évolution de société. Une telle vaccination massive et à marche forcée serait un véritable hold-up sur notre liberté individuelle et notre santé !

  • Des vaccins controversés ou à l’efficacité mal démontrée (hépatite B, méningocoque C…) deviendraient obligatoires. Or, on ne compte plus les accidents post-vaccinaux ou les signalements d’effets indésirables graves, voire mortels, et les procès intentés par les victimes ou leur famille se multiplient.

  • Personne ne connaît aujourd’hui l’impact à moyen et long terme d’un bombardement de 11 vaccins sur le système immunitaire immature de jeunes enfants. La mise en œuvre de l'ensemble du calendrier vaccinal, tel qu'il est recommandé aujourd'hui, représente pas moins de 76 immunisations avant l'âge de 18 mois ! Plusieurs études ainsi que des données des laboratoires ont déjà montré l’augmentation significative des accidents neurologiques liés à l’injection simultanée de plusieurs vaccins. Avec sa proposition, Agnès Buzyn joue aux apprentis sorciers.

  • Chaque enfant réagit différemment à chaque vaccin. Leur imposer autant de vaccins sans prendre en compte leurs particularités, c’est prendre des risques imprévisibles quant à leur santé.

Non seulement ce projet va à l’encontre des règles minimales de sécurité sanitaire, mais il viole également nos libertés fondamentales. Alors que la grande majorité des pays européens n’ont pas d’obligations vaccinales, sans conséquences sanitaires notables, le Parlement suédois vient même de déclarer l’obligation vaccinale anticonstitutionnelle.

À contre-courant de ces pays soucieux des libertés individuelles, notre ministre de la Santé veut faire fi de la défiance justifiée des Français envers les vaccins, comme l’avait fait sa précédente consœur, lorsqu’elle avait fait voter une loi indiquant que les infirmières scolaires pouvaient vacciner les enfants sans le consentement éclairé des parents. Alors qu’on parle tant aujourd’hui de conflits d’intérêts et de moralisation de la vie publique, il est urgent de préférer la transparence et le dialogue avec les Français aux cadeaux offerts aux laboratoires pharmaceutiques.

Nous réclamons :

  • Que la France, en accord avec la loi Kouchner du 4 mars 2002, s’inspire du modèle suédois et s’oriente vers la liberté de choix.

  • Que des données épidémiologiques nationales transparentes et accessibles aux citoyens, évaluent objectivement les besoins et l’efficacité clinique de chaque vaccination. Agnès Buzyn justifie par exemple sa proposition par le nombre, qu’elle juge important, des cas de rougeole depuis 2008. Or, comme le rappelle la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations, les taux de vaccination contre la rougeole sont en constante augmentation sur la période. Si vraiment les cas de rougeole augmentent alors même que la « couverture vaccinale » s’étend, c’est l’utilité même de ce vaccin qu’il faut remettre en cause plutôt que vouloir l’imposer de force à un nombre toujours plus grand de personnes.

  • L’analyse objective des risques neurologiques, psychiatriques, articulaires et musculaires éventuellement associés, qui pourraient être liés, comme le montrent certaines études scientifiques, aux différents types d’adjuvants.

  • Le recensement de la présence de nanoparticules métalliques non déclarées dans les vaccins. Une nouvelle étude des docteurs Gatti et Montanari, du laboratoire italien Nanodiagnostics révèle la présence inexpliquée, et jamais signalée par les laboratoires, de plus d’une vingtaine de nanocomposants toxiques dans des vaccins courants, y compris dans certains des vaccins destinés à devenir obligatoires selon Agnès Buzyn. On y retrouve notamment tungstène, chrome, baryum, aluminium, silicium, titane… Outre la toxicité avérée de certains de ces métaux, leur échelle nanométrique et leur association entre eux en font de possibles bombes à retardement. Or, malgré de nombreux accidents post-vaccinaux « inexpliqués », aucune étude toxicologique n’a été faite sur l’effet de ces nanoparticules ! Rappelons qu’actuellement 700 familles françaises ont assigné en justice le laboratoire CSP, distributeur du vaccin Meningitec, du fait de symptômes très préoccupants après la vaccination (fièvre, douleurs, diarrhée, problèmes oculaires graves). Or, si on a rapidement attribué le problème à des « lots défectueux », la députée européenne écologiste Michèle Rivasi rappelait il y a peu qu’il se pourrait que le problème vienne du vaccin lui-même : en effet, Nanodiagnostics déclare avoir observé la présence dans ce vaccin d’acier inoxydable, de plomb, de titane et de zirconium.

  • De revoir l’âge de la nécessité vaccinale et de mieux évaluer les risques d’associer chez le nourrisson des vaccins combinés, pour certains d’efficacité mal démontrée, et qui ne sauraient donc être rendus obligatoires. Ceci implique une étude plus poussée des réponses immunitaires générales et cérébrales des nourrissons, soumis à plusieurs vaccinations simultanées, alors que les réponses de leur système immunitaire ne sont pas matures et sont encore mal connues à cet âge. Or la mise en œuvre de l'ensemble du calendrier vaccinal, tel qu'il est recommandé aujourd'hui, représente une série impressionnante d'immunisations : pas moins de 76 avant l'âge de 18 mois ! La littérature scientifique et l’expérience des pédiatres confirment que plus est important le nombre de vaccins administrés simultanément et plus l’enfant est jeune, et plus sont importants les risques d’effets secondaires. Il en va aussi du bon sens : jamais dans la nature ne se manifestent simultanément 6 ou 7 pathologies infectieuses et l’organisme n’est ni préparé ni apte à gérer une telle éventualité !

  • L’arrêt de l’uniformisation des pratiques au nom du principe de la vaccination de masse et une meilleure prise en compte de la particularité des individus, à la fois en termes d’exposition réelle aux risques et en termes de terrain immunitaire lié à l’extrême variabilité du système HLA propre à chaque individu. Sans même évoquer l’efficacité du vaccin contre l’hépatite B et ses risques sur la santé, quel est le sens de vacciner un jeune enfant contre une maladie sexuellement transmissible ? Un acte médical responsable doit rester personnalisé pour évaluer le rapport bénéfice/risque pour chaque individu particulier. Les patients ne sont pas de potentielles « marges d’erreurs » dans des statistiques de santé publique, ils sont des citoyens libres qui doivent pouvoir consentir, de manière libre et éclairée, à un traitement à partir d’une information fiable et transparente.

Depuis près de 40 ans, Alternative Santé défend votre libre choix thérapeutique.

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